- Accueil
- > - LONG METRAGE
5 août, 2014
19 juillet, 2014
Je suis à toi
L’acteur argentin Nahuel Perez Biscayar (Au fond des bois de Benoît Jacquot) a remporté le prix d’interprétation du 49e Festival International de Karlovy Vary (République Tchèque) pour son rôle dans Je suis à toi de David Lambert, présenté en compétition et en première mondiale. Après Hors les Murs (Semaine de la Critique 2012), Je suis à toi est le second long métrage du réalisateur belge David Lambert. Le film raconte l’histoire de Lucas, un jeune escort boy argentin sans le sou qui fait tout ce qu’il peut pour survivre à Buenos Aires. Un jour, sur internet, il rencontre Henry, un boulanger belge qui souffre de solitude et qui rêve de le sauver de la prostitution. |
Lucas traverse donc l’Atlantique pour devenir l’apprenti de Henry mais il se sent bien vite prisonnier de son amour. Audrey, la vendeuse de la boulangerie, a quant à elle tout pour lui plaire mais elle se refuse à lui… |
15 mai, 2014
MON DERNIER ROUND
![]() |
MON DERNIER ROUND par optimalefr |
2 mai, 2014
Avant que j’oublie de Jacques Nolot
![]() |
![]() |
![]() |
AVANT QUE J’OUBLIE – Bande-annonce VF par CoteCine |
23 avril, 2014
un amour à taire
Sara, Jean et Philippe ont entre vingt et trente ans en ce printemps 1942. Elle est juive. Ils sont homosexuels… En cette période d’Occupation où toutes les règles sont abolies, ils sont tous les trois habités par le même désir impérieux : survivre. Survivre malgré leur « différence », survivre parce qu’à leur âge on ne peut ni renoncer ni s’arrêter… jusqu’au jour où Jean, accusé à tort d’être l’amant d’un officier de la Wehrmacht, est déporté par les nazis. C’est le début de sa descente aux enfers sous le signe du Triangle Rose… |
Un Amour à taire est un téléfilm réalisé par Christian Faure diffusé pour la première fois le 7 mars 2005 sur FR2.
C’est un des seuls films à l’heure actuelle sur la déportation homosexuelle durant la Seconde Guerre mondiale. Les producteurs se sont d’ailleurs inspirés du livre de Pierre Seel Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel (Calmann-Lévy, 1994). Il réalise ce film en hommage à Pierre Seel, déporté homosexuel décédé en 2005. Le sujet du film faisait écho à la reconnaissance par le président Jacques Chirac de la déportation des homosexuels en France : « Nous sommes là pour nous souvenir que la folie nazie voulait éliminer les plus faibles, les plus fragiles, les personnes frappées par le handicap dont l’existence même faisait affront à leur conception de l’homme et de la société. En Allemagne, mais aussi sur notre territoire, celles et ceux que leur vie personnelle distinguait, je pense aux homosexuels, étaient poursuivis, arrêtés et déportés. »
L’Observatoire du communautarisme, comme quelques titres de la presse gay française, mettent en doute la crédibilité de Jean Le Bitoux, référent historique du film. Il accuse le film de « soutenir la thèse d’une déportation homosexuelle orchestrée par la France de Vichy » alors que celle-ci n’a eu lieu que dans les territoires annexés par le Reich. L’Observatoire du communautarisme reconnait cependant que si les Allemands considéraient l’homosexualité des peuples inférieurs comme bénéfique pour le peuple allemand, et n’ont jamais cherché à purger la France de ses homosexuels, il n’en était pas de même lorsque des officiers allemands étaient impliqués, ce qui est précisément le cas du film et rend donc la fiction plausible. Ces accusations semblent de plus ignorer les explications données par un déporté homosexuel alsacien lors de l’arrivée du héros à Drancy. Il y a donc bien fiction mais sur des bases historiques non falsifiées comme l’affirme l’article non signé de l’Observatoire. source: wikipedia
12 avril, 2014
O Fantasma
Un chien aboie et gratte à une porte fermée. Une paire d’yeux apparaît derrière un masque noir en caoutchouc. Sergio construit le monde à sa mesure. Il est éboueur à Lisbonne. Dans la solitude de sa pension bon marché, guidé par son désir du sexe des hommes, il trouve, une nuit, le fantôme de ses rêves. Un jeune homme qui travaille comme éboueur à Lisbonne, Sergio, erre la nuit à la recherche de partenaires sexuels. Un jeune homme aperçu par hasard l’attire, mais ce dernier n’est pas intéressé. Ce rejet exacerbe encore plus le désir de Sergio… |
REALISATEUR Il est né en 1966 à Lisbonne. Il arrète des études de biologie pour faire l’école de cinéma de Lisbonne, qu’il finit en 1989. De 1989 à 1996, il est assistant réalisateur et monteur. »João Pedro Rodrigues a réalisé le très grand film pédé du temps à placer aux côtés d’Un chant d’amour de Jean Genet, de Pink Narcissus (attribué à Kenneth Anger) et du Querelle de Fassbinder. » Libération Les premiers plans montrent un homme sanglé et recouvert d’une combinaison noir luisant. Le film, presque muet, contient plusieurs scènes érotiques, notamment une fellation non simulée. Ce film fut interdit aux moins de seize ans à sa sortie en salles. |
9 avril, 2014
Like it is
![]() |
![]() Date de sortie 16 juin 2003 – en DVD (1h30min) |
Craig est timide, solitaire. Il a 21 ans et vit à Blackpool, dans le nord de l’Angleterre. Il gagne sa vie en pratiquant un sport illégal, violent et sanglant : la lutte à mains nues. Matt est cynique, blasé. Il vit dans Soho, le quartier le plus sophistiqué de Londres, et travaille dans le milieu musical. Les deux garçons se rencontrent à Blackpool où Matt est venu présenter son dernier show dans un club gay. C’est le coup de foudre. Matt réussit à convaincre Craig de le suivre à Londres mais Kelvin, son patron, n’a que du mépris pour ce « prolo nordique » et Paula, sa colocataire, est de plus en plus jalouse. Rejeté par tous, Craig retourne à Blackpool pour un dernier combat sanglant… | ![]() ![]() |
7 avril, 2014
surveillance
sortie le 25 février 2009
Les murs ont des yeux…
![]() |
http://www.dailymotion.com/video/k2JkzvBeaxhh8fU8JK
Quand le séduisant prof Adam Blane recontre le non moins délicieux Jake dans une disco gay londonienne, il ne sait pas que cette nuit d’amour va le mener jusqu’à la famille royale… |
Entre son travail et les sorties à Londres le week-end, la vie d’Adam ne réserve aucune surprise. Jusqu’au jour où il rencontre Jack et qu’il devient le centre d’attention de certaines puissances qui le suivent dans ses moindres déplacements. Il découvre alors que Jake lui a « donné » la seule preuve d’une affaire d’état concernant l’homosexualité d’un membre de la famille Royale. Quand Jake est retrouvé mort, Adam n’a plus d’autre choix que de fuir. Aidé par les deux seules personnes en qui il a confiance, son père et Amy, une amie journaliste, il tente de découvrir la vérité… Mais pourra-t-il échapper aux 4 millions de caméras que compte l’Angleterre ?
Réalisateur : Paul Oremland
Acteurs : Dawn Steele, Tom Harper, Sean Brenden Brosnan
Langues: Anglais
Sous-titres: Français
Audio: Dolby Digital
Bonus: 2 Bandes-annonces, Making-of (V.O.)
Genre: Policier
Durée : 87 min.
3 avril, 2014
Élève libre
![]() |
La question qui taraude Elève libre est celle des limites. «C’est sur l’espace intime et la façon dont on peut le préserver aujourd’hui, dans une société où la liberté est assimilée à la transparence, au tout dire, etc. Les adultes du film ont l’idée que la jouissance va les mener vers le bonheur. Ils théorisent pour cacher leur incapacité à être dans le lien et dans l’affection. Ce qu’ils ne transmettent pas à Jonas, c’est l’aptitude à vivre avec le manque, la frustration, et à s’inscrire dans le lien.»Pourtant, Jonas est libre et le «lien pervers», pour reprendre le terme de Lafosse, qui se tisse avec Pierre se joue à deux. Aussi bien, dans son travail de transmission au spectateur, le réalisateur a voulu et su éviter l’écueil dénoncé plus haut de la castration. A chaque plan, dans chaque cadre, Lafosse offre son regard, comme un dialogue, une question. Nous laisse juge à chaque nouvelle proposition qui fait avancer son récit : «Film moral, dit-il, mais pas moraliste», où l’on a tout le temps de se sonder, de se dégoûter, de se pardonner ou de s’éprouver, voire d’un tout petit peu progresser. Un miroir laissé à notre entière discrétionsource : libération.fr |
2 avril, 2014
Were the World Mine
http://www.dailymotion.com/video/xa1vgx | Synopsis : Alors qu’il répète son rôle pour la comédie musicale de fin d’année de son lycée, Timothy, un jeune gay malmené par ses camarades, découvre la recette d’un philtre d’amour. Qui devra tomber amoureux de lui au premier regard ? Ce sera Jonathon, charmant, sportif et… hétérosexuel, qui sera l’élu de son coeur. Et ça marche. Tellement bien que Timothy transforme peu à peu les habitants de sa petite ville en amoureux transits et… homosexuels. |
Ce film a une histoire : celle d’un jeune homme qui, sur ce sujet, tourne d’abord un court métrage remarqué dans de nombreux festivals, et décide d’en tourner une version longue, en cinéaste indépendant, bouclant les prises en cinq jours. Were the World Mine est paraît-il un film culte dans le milieu gay.Film américain de Tom Gustafson avec Tanner Cohen, Wendy Robie, Judy McLane. (1 h 36.)
|